RDV ce di 15/04 pour Jack sur le parking habituel avec Tom et Tuur (les "découvreurs") ainsi que le team G.R.S.C. (Patrice, José, Pol) accompagné du jeune Bruno ("A Pic") pour tous ensemble accompagner les deux plongeurs Michel Pauwels et Jacques Petit jusqu'aux abords des siphons du trop court regards sur l'amont de la circulation souterraine de la VDH.
Nos deux amphibiens, échaudés (si l'on peu dire) par les perspectives d'une première reconnaissance effectuée par JP l'an dernier (voir l'info sur le site du GRSC)-tant dans le siphon aval que le siphon amont- n'ont pas moins de 8 ktis de mato à acheminer jusqu'à pied d'oeuvre pour se donner toutes les chances de réussite. Tout ça avec de surcroit une marche d'approche pour atteindre l'étonnante grande faille jadis fréquentée par les mineurs (merci à Robert Theck pour le portage de surface !). Outre le beau puits oblique d'entrée et une galerie ma foi bien décorée, on retiendra surtout du cheminement menant à la rivière l'infâme passage du "pompier" (siphon de boue liquide) ainsi qu'une chicane tordue et une étroiture verticale à angle droit, tout ça très inconfortable quand il s'agit de traîner du matériel relativement fragile.
Le reste de la grotte présente parait-il d'étonnants décors, la roche étant fort noire. Mais nos membres aqualiens et montois n'en verront rien cette fois pour se consacrer uniquement à la plongée.
A pied d'oeuvre mais pas à pied secs -assistés par Jack et son APN- les deux "vers de terre" auront bien du mal à se transformer en "vers de vase", tant l'endroit est exigu et tordu. Ils leur faudra bien une heure pour se dépoiler, enfiler combi néoprène (pour Michel qui a ainsi choisi d'avoir froid), revêtir au prix d'une opposition remarquable un volume constant (pour Jacques qui a choisi de ne pas uriner !) et enfin assembler méticuleusement leurs "blocs" et autre attirail de plomb.
Nos deux amphibiens, échaudés (si l'on peu dire) par les perspectives d'une première reconnaissance effectuée par JP l'an dernier (voir l'info sur le site du GRSC)-tant dans le siphon aval que le siphon amont- n'ont pas moins de 8 ktis de mato à acheminer jusqu'à pied d'oeuvre pour se donner toutes les chances de réussite. Tout ça avec de surcroit une marche d'approche pour atteindre l'étonnante grande faille jadis fréquentée par les mineurs (merci à Robert Theck pour le portage de surface !). Outre le beau puits oblique d'entrée et une galerie ma foi bien décorée, on retiendra surtout du cheminement menant à la rivière l'infâme passage du "pompier" (siphon de boue liquide) ainsi qu'une chicane tordue et une étroiture verticale à angle droit, tout ça très inconfortable quand il s'agit de traîner du matériel relativement fragile.
Le reste de la grotte présente parait-il d'étonnants décors, la roche étant fort noire. Mais nos membres aqualiens et montois n'en verront rien cette fois pour se consacrer uniquement à la plongée.
A pied d'oeuvre mais pas à pied secs -assistés par Jack et son APN- les deux "vers de terre" auront bien du mal à se transformer en "vers de vase", tant l'endroit est exigu et tordu. Ils leur faudra bien une heure pour se dépoiler, enfiler combi néoprène (pour Michel qui a ainsi choisi d'avoir froid), revêtir au prix d'une opposition remarquable un volume constant (pour Jacques qui a choisi de ne pas uriner !) et enfin assembler méticuleusement leurs "blocs" et autre attirail de plomb.
C'est Michel qui partira le premier en s'attaquant au siphon aval. L'espoir est de jonctionner avec le S3 qu'il avait atteint par l'autre coté çad via la VDH. Pour la beauté du geste ! Du terminus de Jacques, il est descendu jusqu'à -10 pour remonter à -3 mais sans trouver trace de fil ni pouvoir sortir, s'étant engagé dans la touille dans une cheminée trop étroite. A finaliser donc...
Ce fut ensuite le tour de Jacques de s'immerger, dans l'amont cette fois pour dépasser son terminus précédent de quelques mètres dans une fissure pas très large continuant à plonger. Après chipoteries avec fil et le mato, il fera demi tour sur passage exigu et où le courant semble lui échapper. Michel embraya pour à son tour reconnaitre les lieux et rajouter encore quelques mètres (-12m).
Ce fut ensuite le tour de Jacques de s'immerger, dans l'amont cette fois pour dépasser son terminus précédent de quelques mètres dans une fissure pas très large continuant à plonger. Après chipoteries avec fil et le mato, il fera demi tour sur passage exigu et où le courant semble lui échapper. Michel embraya pour à son tour reconnaitre les lieux et rajouter encore quelques mètres (-12m).
Conclusions des deux acteurs : la prochaine fois, un seul plongeur réattaque les siphons par la VDH via le shunt, jonctionne et se rejette dans la foulée dans l'amont, s'épargnant ainsi la mise à l'eau foireuse. Ya + ka !
Mentionnons que sur ce temps, plutôt que de se les geler, les autres comparses se sont fait suer à désober un boyau amont mal ventilé mais prometteur comme signalé ici
Sortie du trou deux fois plus lourd qu'à l'aller compte tenu du mato mouillé et de la boue accumulée sur le parcours, ce qui rendit assez délicate la remontée sur corde du puits d'entrée rééquipé pourtant en double par Patrice.
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Jack